Des chansons dans un langage imaginaire, agrémentées de contes, de légendes et de récits d’aventures.

Issu du folk, des musiques du monde, Meta Hurakin nous chante ici une épopée onirique, un périple immobile mâtiné d’Afrique, de Méditerranée, de Taïga sibérienne…

Dans son langage imaginaire, Meta Hurakin nous emmène à la découverte d’un univers empreint de voyages et peuplé de rêves. Sa musique, c’est une sorte de folk intimiste enrichie de couleurs insolites glanées ça et là, au gré de ses voyages musicaux. Un jeu très “fingerpicking”, teinté de polyrythmie. Un peu de Brésil aussi, subtilement, dans un rythme, un accord. Une once de jazz peut-être, humblement, dans ses constructions harmoniques téméraires. Un peu toujours là où on ne l’attend pas. Le plaisir de marcher jusqu’à la prochaine crête juste pour savoir ce qui se cache de l’autre côté.
C’est un chant libre et joueur, des arabesques fines, et même des sons étranges, car après tout… pourquoi pas ?
un sifflement, un chant diphonique, c’est tout ça, voilà.